À la frontière entre poésie et ethnobotanique, entre sauvage et urbanité, entre science et connaissance : ce recueil – en passant par le « je » – creuse la question de la place en nous du végétal et du vivant dans une époque où le vertige de la séparation entre l’humain et la nature est de plus en plus prégnant.

S’y entremêlent l’amour de la langue, le lien charnel aux plantes, le tiraillement sans cesse renouvelé des humains et des arbres, de la terre sous l’asphalte, du fragile et du fort, avec, toujours, une quête de ce qui ouvre, révèle, dévoile, apaise.

Recueil de poésie illustré, A5, 60p.

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